Par Nansirine FATOUMBI Respect des procédures administratives à ESAE {{Le contrôle pour les cartes de paiement a déjà démarré ! }} { {{A la reprise des cours juste après les congés de fête, les responsables de l’administration de ESAE ont mis en place un processus de contrôle des cartes de paiement scolaire pour l’année académique 2018-2019. Une stratégie dont la finalité est d’obliger tout le monde à se mettre en règle vis-à-vis de l’administration. } {}}} Les contrôles pour le respect du dress-code à ESEA a laissé place à celui des cartes de paiement. Devenu par la force des choses, le sésame pour accéder aux cours, il est instauré pour instaurer l’ordre au sein de l’établissement dans la mesure il montre que l’étudiant à rempli les procédures administratives instaurées au sein de cette école pour instaurer l’ordre et éviter l’anarchie. Ces procédures commencent par un dépôt de dossier obligatoire qui permet, en plus des informations utiles d’avoir une idée du parcours scolaire de l’étudiant afin d’aviser au moment opportun. Cette carte permet aussi de reconnaitre ceux qui sont à jour vis-à-vis de la comptabilité. A cet effet de nombreux étudiants ont été stoppés à l’entrée principale de l’université pour la vérification de leurs cartes de paiement. Il est mené par les préfets de disciplines. Selon Jonas DOVONON, préfet de discipline à ESEA, ce contrôle est destiné à identifier chaque étudiant. « Ce contrôle est dû à une observation selon laquelle beaucoup d’étudiants ne sont pas du tout à jour dans le dépôt des dossiers et ne non sont pas non plus à jours au niveau de la comptabilité. Il vise aussi à dénicher ceux qui sont dans l’école de façon illégale. Dans toutes universités qui se respectent que ce soit privées comme publique le dépôt des dossiers doivent sont obligatoires pour que les étudiants puissent rentrer en possession de leur carte de paiements » a expliqué celui-ci Après cette vérification des cartes, les étudiantes qui ne remplissent pas les conditions n’ont pas du tout accès aux cours. Malgré le fait que certains apprenants à l’instar de Bridice étudiants en 2éme année d’Administration Générale trouve que la méthode un peu rude, cela n’enlève rien à la détermination de l’équipe préfectorale de ESEA qui estiment d’ailleurs qu’il s’agit d’une étape décisive dans le maintien de l’ordre, de la discipline et surtout de la sécurité au sein de l’établissement. FATOUMBI Nansirine.