Par Fatiatou ELEGBEDE.
Actualité sociopolitique*
«Trois possibilités s'ouvrent aux anciennes parties politique pour le scrutin prochain »dixit Antoine Adoukonou
*L'émission <
>de Océan Fm a reçu dimanche 20 janvier 2019, Antoine Adoukonou, économiste, acteur politique, membre du partie politique républicaine. Tout au long de débat, deux grands sujets ont fait l'objet des échanges. Il s'agit: de la chance des différents blocs politiques constituées pour le scrutin du mois d'Avril prochain et la déclaration de l'ancien président Boni Yayi sur le nouveau code électoral*
<>a affirmé Antoine Adoukonou, économiste, acteur politique, membre du partie politique républicaine au cours de l'émission" carte sur table" de ce dimanche 20 janvier 2019 à Océan Fm. Quelques cinq million de citoyens sont appelés aux urnes le 08 Avril prochain pour élire les quatre députes pour le compte de la 8ème législature. À cet effet, les parties de l'opposition ont une procédure à prendre qu'est la conformité avec la nouvelle charte des parties politiques. Il s'agit le dépôt de dossier au ministère de l'intérieur qui en retour, dispose d'un délai de deux mois afin de délivrer un nouveau récépissé. <>a- t- il ajouté. Au nombre des trois possibilités, la première consiste à la reconstitution des dossiers à la hauteur de 15 membres par commune qui sera déposé ensuite au ministère de l'intérieur. En ce qui concerne la deuxième, elle offre l'opportunité à des parties de se mettre ensemble sans prendre aucun nom qui est déjà enregistré au ministère ni aucun logo qui existait. Enfin, la troisième permettra la disparation totale de système politique. Pour lui, au terme des trois possibilités, les deux premières sont valables. L'économiste va plus loin en précisant que le code électoral a prévu qu'il faut avoir 10% ou bien il faut être au moins parmi les quatre première pour être éligible à l'attribution des sièges. Ainsi, pour la difficulté à laquelle sont confrontés certains acteurs politiques et autres, il exhorte ces derniers à bien lire les parties de l'article 19 de la charte. Cependant, au sujet relatif à la déclaration faite par l'ancien président Thomas Boni Yayi, du nouveau code électoral, l'invité pense que le président Patrice Talon a respecté le délai de convocation du code électoral. Pour lui, l'ancien chef de l'Etat, étant un citoyen béninois est libre de critiquer les textes de la république mais il demande d'éviter l'amalgame entre le nouveau code électoral et sa mise en œuvre. À l'en croire, ils n'ont pas bien compris les différentes parties de la nouvelle charte. Pour clôturer le débat de ce jour, Antoine Adoukonou pense qu'il faut rester en synergie pour aller vers les grands ensembles. <>s'est réjouit Antoine Adoukonou.